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La 4e édition du festival God Save the Kouign à Penmarc’h se déroulera sur deux jours les 23 et 24 juin. Toujours au stade municipal mais, cette fois, sous un chapiteau de 3 000 places. Un nouveau défi.
La 4e édition du festival God Save the Kouign se déroulera sur deux jours les 23 et 24 juin à Penmarc’h.
Changement de braquet au festival God Save the Kouign. Pour la première fois, l’événement va se dérouler sur deux jours. Ce n’est pas une surprise. Les organisateurs en parlent depuis belle lurette. Une façon d’amortir les investissements et d’offrir double dose au public.
Neuf groupes vont se succéder sur scène les vendredi 23 et samedi 24 juin. S’il reste encore quelques gros noms à tomber, on connaît déjà une partie de la programmation. La tête d’affiche du vendredi, c’est dEUS. Penmarc’h accueille le grand retour de ce pilier de la scène indé-rock belge. Les auteurs du cultissime « The Ideal Crash » en 1999 s’apprêtent à sortir un nouvel album. Seule date en Bretagne pour le moment. Les Bigoudens sont gâtés.
La formation Knuckle Head ouvrira les hostilités. Les Alsaciens et leur country-rock saturé ont fait un passage remarqué à la Fête du Bruit à Landerneau et au Binic Folks Blues. Une valeur sûre.
Ensuite, place aux Néerlandais de Dewolff, « une pépite », selon Bertrand Roudot, programmateur. Manque encore un groupe pour cette soirée du vendredi. Il sera connu sous peu.
Le lendemain, avalanches de décibels avec Die Morg (Nantes), The Mercury Riots (USA), The Bobby Lees (USA) et les locaux Komodrag & the Mounodor. Ici, il manque encore une tête d’affiche. Petite déception avec l’annulation de la venue de Vintage Trouble, les organisateurs attendaient beaucoup de ces Américains fougueux. Tant pis. « C’est de plus en plus compliqué et onéreux de faire venir des artistes », confie Yohan Madec, le directeur du festival. Festival dont le budget passe de 150 000 € à 230 000 €.
Nouveauté pour 2023 : l’acquisition d’un chapiteau de 3 000 places qui sera installé au stade municipal. (Breizh Tops Transports)
La barre des 5 000 festivaliers à franchir
La grande nouveauté pour 2023, c’est l’acquisition d’un grand chapiteau de 3 000 places qui sera installé au stade municipal. Ainsi, l’événement ne va plus dépendre des aléas de la météo. Personne n’a oublié la rocambolesque édition 2019 où en raison de la pluie, la soirée a bien failli être écourtée. « Que ce soit l’organisation, le public et les artistes, tout le monde va gagner en confort. Chaque année, il faut évoluer », soutient Yohan Madec. Ce dernier espère attirer 5 000 festivaliers et faire entrer le God Save the Kouign dans une autre dimension. Sans dénaturer le festival, en restant à taille humaine. « Il y aura toujours un camping au stade Pierre-Boënnec, la monnaie d’échange sur place sera toujours la kouign et, peut-être le plus important, le tarif de la bière n’augmentera pas », indique le directeur. Déjà, pour 2024, des projets sont annoncés. Les organisateurs aimeraient installer une seconde scène pour y faire jouer les artistes locaux.
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